Archives des Cinquante Otages de Nantes (1941)
15 décembre 1948
Lettre de Jean Weiland au préfet de Loire-Inférieure
Classement
Je transcris ci-dessous un document des Archives
départementales de Loire-Atlantique.
Référence :
Fonds 1694 W Affaires de guerre
Dossier 16 : attentat du 20 octobre 1941.
Les astérisques renvoient à des notes (sous la
transcription)
TRANSCRIPTION
Manuscrit
«
Jean WEILAND
Créteil (Seine)
1, av. de la Marne, 15
décembre 1948
(tampon) PREFECTURE
17
DEC 1948
Monsieur le Préfet de la
Loire-Inférieure Nantes
Vous aviez
bien voulu m’envoyer voici quelque
temps, à ma demande, la copie d’une lettre
que m’avait adressée, le 27 Octobre 1941, votre
prédécesseur Monsieur Dupard.
temps, à ma demande, la copie d’une lettre
que m’avait adressée, le 27 Octobre 1941, votre
prédécesseur Monsieur Dupard.
Comme vous le
constaterez par la photocopie
ci-jointe, cette copie, rédigée sur papier sans
en-tête de votre Préfecture, n’est pas authentifiée.
ci-jointe, cette copie, rédigée sur papier sans
en-tête de votre Préfecture, n’est pas authentifiée.
Je me permets
de venir vous prier de vouloir
bien me faire parvenir une nouvelle copie
ce cette lettre, établie sur papier à en-tête
de votre Préfecture, et certifiée conforme.
bien me faire parvenir une nouvelle copie
ce cette lettre, établie sur papier à en-tête
de votre Préfecture, et certifiée conforme.
Je suis prêt,
bien entendu, à couvrir les frais
de cet envoi.
de cet envoi.
Peut-être
pourriez-vous, par la même
occasion, me confirmer que les 50 otages
complémentaires dont il est question, ont
obtenu, non pas seulement un sursis à leur
exécution, mais leur grâce complète.
occasion, me confirmer que les 50 otages
complémentaires dont il est question, ont
obtenu, non pas seulement un sursis à leur
exécution, mais leur grâce complète.
En vous
remerciant, par avance, très vivement,
et en m’excusant de vous avoir importuné, je
vous prie d’agréer, Monsieur le Préfet,
l’assurance de ma haute considération.
et en m’excusant de vous avoir importuné, je
vous prie d’agréer, Monsieur le Préfet,
l’assurance de ma haute considération.
Jean
Weiland
1 photocopie. »
Notes
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